Les cas écoute : avocat ose appeler le Client n'est plus

17-06-2015 13:48

Il y a des clients de l'Amsterdam Loi ferme Palmer d'Oliveira qui ne veulent plus communiquer par téléphone ou par courriel avec leurs avocats, car ils craignent que le service de renseignement AIVD est en écoute.

Qui ont Michiel Pestman du Bureau du Procureur a déclaré mercredi.
Il a parlé lors de l'affaire d'écoute à la Haye, où la demande d'avocats que secret service arrêt AIVD et MIVD à l'écoute les conversations entre les avocats et leurs clients, sans l'intervention d'un juge indépendant. 

Pestman décrit l'impact de l'interception du bureau. Selon lui parler avocats forcés entre quatre murs avec les clients, qui prend du temps. 

Prolongé en décembre, il a été annoncé que les avocats de Palmer d'Oliveira, qui aident les personnes soupçonnées de terrorisme à long terme sont mis sur écoute par l'AIVD.

Les avocats qui pratiquent, où a été longtemps peu connus, viole le droit à un procès équitable. Ils veulent que tout le monde devrait être en mesure d'aller sur l'hypothèse que la communication avec un avocat est confidentielle.

Insuffisant le système actuel selon lequel le Comité de surveillance sur les services de renseignement et de sécurité (CTIVD) peuvent poster des clés ou l'interception était légal, qu'ils ne trouvent pas assez.

Avocat Sébas Deen effectué mercredi au nom du Conseil des bureaux européens (CCBE). Certains de ses clients sont des soldats qui ont fait partie d'une unité spéciale ou de missions à l'étranger. Deen a dit qu'il est très important qu'ils peuvent se défendre sans que le gouvernement, où ils ont travaillé pour lui-même arrive à être à l'écoute. Les avocats qui pratiquent, où a été longtemps peu connus, viole le droit à un procès équitable. Ils veulent que tout le monde devrait être en mesure d'aller sur l'hypothèse que la communication avec un avocat est confidentielle.

Insuffisant le système actuel selon lequel le Comité de surveillance sur les services de renseignement et de sécurité (CTIVD) peuvent poster des clés ou l'interception était légal, qu'ils ne trouvent pas assez.

Avocat Sébas Deen effectué mercredi au nom du Conseil des bureaux européens (CCBE). Certains de ses clients sont des soldats qui ont fait partie d'une unité spéciale ou de missions à l'étranger. Deen a dit qu'il est très important qu'ils peuvent se défendre sans que le gouvernement, où ils ont travaillé pour lui-même arrive à être à l'écoute.

 

ad.nl